CamAPS FX est une application mobile perfectionnée et facile d’emploi, destinée à contrôler e taux de glucose chez les patients présentant un diabète de type 1, âgés d’un an ou plus, grâce à une approche sophistiquée en boucle fermée hybride qui s’adapte en permanence.
L’application a été scrupuleusement testée en essais cliniques et son utilisation a été autorisée au Royaume-Uni et dans l’Union Européenne.
CamAPS FX est disponible dans les services de diabétologie sélectionnés et aussi pour ceux qui suivent une formation en ligne en l’autofinançant. Veuillez vérifier la disponibilité auprès de votre service de diabétologie ou allez sur Commander pour commander l’application.
CamAPS FX est compatible avec le Dexcom G6 et le FreeStyle Libre 3 . Veuillez cliquer sur les liens pour afficher les smartphones et les systèmes d’exploitation compatibles.
CamAPS FX est compatible avec les pompes à insuline mylife YpsoPump, DANA Diabecare RS et DANA-i.
CamAPS FX fonctionne sur les smartphones Android pris en charge par le fabricant de votre MCG avec OS 10 et plus. Il fonctionne également avec FreeStyle Libre 3 sur iOS 17 ou 18, actuellement en Suède et sera bientôt déployé à l'échelle mondiale.
Veuillez cliquer sur ce lien pour obtenir une liste des appareils et des systèmes d'exploitation compatibles avec le capteur FreeStyle Libre 3 et l'application FreeStyle Libre 3.
À partir du 1er janvier 2025, CamAPS FX ne sera pris en charge que sur les téléphones compatibles avec les capteurs fonctionnant sous les systèmes d'exploitation Android 10 et supérieurs. Les utilisateurs de systèmes d'exploitation inférieurs à OS 10 ne pourront plus mettre à jour ou réinstaller CamAPS FX après cette date.Actuellement, les données de CamAPS FX peuvent être uploadées sur mylife Cloud et Glooko.
CamAPS FX est disponible en anglais, tchèque, danois, allemand, espagnol, français, italien, néerlandais, polonais, finnois et suédois.
Les publications concernant l’utilisation de l’algorithme de contrôle de Cambridge sont disponibles en téléchargement ici. Les articles clés ont été publiés dans The Lancet et The New England Journal of Medicine.